Dans nos rapports avec les autres, il faut surtout manifester de la
bienveillance, leur faire sentir que nous leur voulons du bien, que nous
cherchons à les aider, et surtout que nous ne les jugeons pas. Nous
devons chercher à les aider, mais sans nous imposer. Il ne faut pas leur
donner des conseils à moins qu’ils ne nous en demandent. Il ne faut
surtout pas leur donner des leçons, car très souvent cela les agace et
risque de produire l’effet contraire de celui que nous escomptons. Il
faut souvent prier pour eux. Ils sentiront ainsi que nous avons de la
sympathie pour eux, que nous les aimons. La prière agit pour eux, mais
aussi sur nous. La prière ajoute à notre bienveillance.
Quand nous voyons les péchés et les malheurs des autres, nous devons toujours nous en sentir responsables.
Si nous avons des difficultés dans nos relations avec les autres et que nous ne sommes pas directement responsables de ces difficultés, c’est-à-dire si ce sont les autres qui nous maltraitent ou nous persécutent, nous devons tout de même faire pénitence, prier et faire preuve de patience : il ne faut pas alors seulement faire pénitence pour notre part de responsabilité, à cause de notre attitude vis-à-vis des autres, mais surtout pour notre attitude et notre état vis-à-vis de Dieu.
Nous sommes en ce monde pour subir des désagréments. Il ne faut pas se décourager : c’est le joug que nous a donné le Christ.
Quand nous sommes pris dans une discussion où l’on se dispute, il ne faut pas y participer en utilisant les mêmes arguments. Il ne faut pas ajouter sa colère à celle des autres. Il ne faut pas utiliser les arguments de ce monde. Mieux vaut s’abstenir et prier afin de permettre à la Grâce divine de descendre et d’établir la paix.
Si nous avons eu une altercation ou des problèmes avec quelqu’un, il ne faut pas y revenir sans cesse : lorsqu’on attend un train, lorsque le train arrive, on monte dedans, on ne continue pas à se disputer. Il faut être chaque jour comme quelqu’un qui attend le train. Et nous ne savons pas quand le train viendra nous prendre.
http://www.diakonima.gr/2014/08/02/en-cas-de-difficultes-pere-serge-chevitch-1903-1987/
Quand nous voyons les péchés et les malheurs des autres, nous devons toujours nous en sentir responsables.
Si nous avons des difficultés dans nos relations avec les autres et que nous ne sommes pas directement responsables de ces difficultés, c’est-à-dire si ce sont les autres qui nous maltraitent ou nous persécutent, nous devons tout de même faire pénitence, prier et faire preuve de patience : il ne faut pas alors seulement faire pénitence pour notre part de responsabilité, à cause de notre attitude vis-à-vis des autres, mais surtout pour notre attitude et notre état vis-à-vis de Dieu.
Nous sommes en ce monde pour subir des désagréments. Il ne faut pas se décourager : c’est le joug que nous a donné le Christ.
Quand nous sommes pris dans une discussion où l’on se dispute, il ne faut pas y participer en utilisant les mêmes arguments. Il ne faut pas ajouter sa colère à celle des autres. Il ne faut pas utiliser les arguments de ce monde. Mieux vaut s’abstenir et prier afin de permettre à la Grâce divine de descendre et d’établir la paix.
Si nous avons eu une altercation ou des problèmes avec quelqu’un, il ne faut pas y revenir sans cesse : lorsqu’on attend un train, lorsque le train arrive, on monte dedans, on ne continue pas à se disputer. Il faut être chaque jour comme quelqu’un qui attend le train. Et nous ne savons pas quand le train viendra nous prendre.
http://www.diakonima.gr/2014/08/02/en-cas-de-difficultes-pere-serge-chevitch-1903-1987/
Δεν υπάρχουν σχόλια:
Δημοσίευση σχολίου