Il y a deux aspects dans la prière : une demande d’aide et une contemplation.
Nous devons avoir constamment l’attitude d’un petit enfant qui, face aux difficultés ou aux dangers, recourt spontanément à l’aide de sa mère ou de son père.
La prière doit être notre respiration première. La prière, même quand elle marche bien, doit être reprise de nouveau chaque jour. Rien n’est acquis pour les jours suivants. Chaque matin est un recommencement.
De même que le corps devient malade et meurt si on ne le nourrit pas, l’âme devient malade et meurt si l’on ne prie pas. La prière, c’est la nourriture de l’âme.
Il faut, pour la prière, se soumettre à une certaine discipline, établir une cuirasse d’habitudes. Même si l’on n’en a pas envie, il faut se forcer à prier et à lire les saintes Écritures. Il ne faut pas rendre la prière relative à notre humeur. Ce doit être une règle rigide : on doit se dire chaque matin et chaque soir qu’il faut prier.
La prière doit être pour nous une règle absolue. Nous devons prier coûte que coûte, car c’est une question de vie ou de mort. Nous ne respirons pas selon notre bon vouloir ; nous ne recherchons pas des motifs de respirer ; nous ne discutons pas de la nécessité de la respiration, nous ne nous en demandons pas le pourquoi. Nous savons que, si nous cessons de respirer, nous mourrons. Nous devons tenir la prière pour un absolu que nous n’avons pas à discuter. Nous devons nous dire : « C’est comme cela, et c’est tout. » Nous devons nous fixer une règle de prière à laquelle nous devons nous tenir coûte que coûte.
La prière doit devenir une nécessité. La prière doit être ressentie comme une nécessité. Il faut accrocher la prière à tout ce que l’on fait.
http://www.diakonima.gr/2014/08/03/la-priere-pere-serge-chevitch-1903-1987/
Nous devons avoir constamment l’attitude d’un petit enfant qui, face aux difficultés ou aux dangers, recourt spontanément à l’aide de sa mère ou de son père.
La prière doit être notre respiration première. La prière, même quand elle marche bien, doit être reprise de nouveau chaque jour. Rien n’est acquis pour les jours suivants. Chaque matin est un recommencement.
De même que le corps devient malade et meurt si on ne le nourrit pas, l’âme devient malade et meurt si l’on ne prie pas. La prière, c’est la nourriture de l’âme.
Il faut, pour la prière, se soumettre à une certaine discipline, établir une cuirasse d’habitudes. Même si l’on n’en a pas envie, il faut se forcer à prier et à lire les saintes Écritures. Il ne faut pas rendre la prière relative à notre humeur. Ce doit être une règle rigide : on doit se dire chaque matin et chaque soir qu’il faut prier.
La prière doit être pour nous une règle absolue. Nous devons prier coûte que coûte, car c’est une question de vie ou de mort. Nous ne respirons pas selon notre bon vouloir ; nous ne recherchons pas des motifs de respirer ; nous ne discutons pas de la nécessité de la respiration, nous ne nous en demandons pas le pourquoi. Nous savons que, si nous cessons de respirer, nous mourrons. Nous devons tenir la prière pour un absolu que nous n’avons pas à discuter. Nous devons nous dire : « C’est comme cela, et c’est tout. » Nous devons nous fixer une règle de prière à laquelle nous devons nous tenir coûte que coûte.
La prière doit devenir une nécessité. La prière doit être ressentie comme une nécessité. Il faut accrocher la prière à tout ce que l’on fait.
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