Tout a un sens religieux. Dieu est le créateur de tout. On ne peut pas dire que quelque chose soit sans rapport avec Dieu.
L’esprit est quelque chose de différent de l’âme et du corps, et en même temps il n’en est pas séparé. Il ne faut pas avoir une vision de l’esprit, de l’âme et du corps comme de facultés séparées. Il ne faut pas voir cela de manière scolastique, comme Aristote ou Thomas d’Aquin. Les trois sont distincts et en même temps unis, à l’image de la Trinité.
On peut distinguer trois grandes facultés dans l’homme : l’intelligence, la volonté et l’affectivité ou les sentiments.
Ces trois facultés doivent s’aider, se contrôler et se soutenir l’une l’autre.
Quand l’une est déficiente, il faut faire intervenir les deux autres pour rétablir l’équilibre. Quand l’intelligence ou le sentiment sont déficients, il faut faire agir la volonté. Quand le sentiment et la volonté ne vont pas, il faut faire intervenir l’intelligence. Quand l’intelligence ou la volonté ne vont pas, il faut faire jouer le sentiment.
Les hommes ont beaucoup de dons, mais ceux-ci sont bien peu développés dans la vie terrestre, où l’on peut constater un grand gâchis.
Tout le monde se sent plus ou moins mal à l’aise dans cette existence terrestre. Cela fait partie de la croix que nous devons porter.
Lorsque nous montrons de la paresse, de la réticence ou de l’hésitation à accomplir les devoirs de notre vie spirituelle, nous devons nous souvenir de ce que disaient les Starets de Valaam : « Je fais quelque chose non pas parce que je le veux, mais parce que je ne le veux pas. »
Si nous vivons superficiellement, si notre esprit ne pénètre pas profondément les êtres, les personnes et les choses, c’est que notre prière elle-même est superficielle. Si nous sommes dans un tel état, il faut avant tout demander à Dieu pardon de vivre ainsi et de ne pas prier comme il convient.
nezartdesign.tumblr.com
Joana Cid •
cloud photo flickr.com
http://www.diakonima.gr/2014/07/28/les-capacites-spirituelles-pere-serge-chevitch-1903-1987/
L’esprit est quelque chose de différent de l’âme et du corps, et en même temps il n’en est pas séparé. Il ne faut pas avoir une vision de l’esprit, de l’âme et du corps comme de facultés séparées. Il ne faut pas voir cela de manière scolastique, comme Aristote ou Thomas d’Aquin. Les trois sont distincts et en même temps unis, à l’image de la Trinité.
On peut distinguer trois grandes facultés dans l’homme : l’intelligence, la volonté et l’affectivité ou les sentiments.
Ces trois facultés doivent s’aider, se contrôler et se soutenir l’une l’autre.
Quand l’une est déficiente, il faut faire intervenir les deux autres pour rétablir l’équilibre. Quand l’intelligence ou le sentiment sont déficients, il faut faire agir la volonté. Quand le sentiment et la volonté ne vont pas, il faut faire intervenir l’intelligence. Quand l’intelligence ou la volonté ne vont pas, il faut faire jouer le sentiment.
Les hommes ont beaucoup de dons, mais ceux-ci sont bien peu développés dans la vie terrestre, où l’on peut constater un grand gâchis.
Tout le monde se sent plus ou moins mal à l’aise dans cette existence terrestre. Cela fait partie de la croix que nous devons porter.
Lorsque nous montrons de la paresse, de la réticence ou de l’hésitation à accomplir les devoirs de notre vie spirituelle, nous devons nous souvenir de ce que disaient les Starets de Valaam : « Je fais quelque chose non pas parce que je le veux, mais parce que je ne le veux pas. »
Si nous vivons superficiellement, si notre esprit ne pénètre pas profondément les êtres, les personnes et les choses, c’est que notre prière elle-même est superficielle. Si nous sommes dans un tel état, il faut avant tout demander à Dieu pardon de vivre ainsi et de ne pas prier comme il convient.
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